Que nous réserve 2024 ?

Que nous réserve 2024 ?

Bonjour,

Jeudi, j’ai animé mon premier atelier en ligne ! Tu étais peut-être parmi nous 😊 65 personnes étaient présentes ou ont vu le replay. C’était super chouette. On a parlé d’astrologie karmique et comment en faire un outil pour débloquer ses mémoires et développer ses potentiels.

L’astrologie est l’art de faire parler les astres. Si la lecture d’un thème est toute personnelle, il est tout de même possible d’avoir une idée globale de la couleur de l’année. Que nous réserve donc 2024 ?

Pour répondre à cette question, je m’intéresse en premier lieu aux planètes dites collectives. Ce sont les planètes les plus lentes du système solaire et, de ce fait, elles concernent tout le monde car leur transit (cheminement autour du zodiaque) très lent influe sur une génération entière.

La plus lente de toutes est Pluton. C’est la planète des changements, des transformations, des bouleversements. Après avoir séjourné en Capricorne pendant 15 ans, Pluton va entrer une première fois en Verseau le 20 janvier 2024 et nous donner un aperçu des prochaines années. Le 2 septembre, Pluton va rétrograder pour retourner en Capricorne, puis passer définitivement en Verseau le 19 novembre 2024. Elle y restera 20 ans.

Pour le dire autrement, toute la génération à venir aura Pluton en Verseau dans leur thème natal. D’un point de vue collectif, cela correspond à un mouvement paradoxal dans les mentalités. Il faut savoir que le Verseau est LE signe du paradoxe. A la fois, il y aura des bouleversements liés à la science, les nouvelles technologies vont toucher chacun dans son quotidien et dans sa façon de rentrer en relation avec l’autre. A la fois, le partage, la liberté et la marginalité hors système connaîtra un essor. Cette double orientation pourra créer des tensions, des révoltes sur le plan social.

Le Verseau est à la fois un grand humaniste et un grand adepte du progrès. Tout dépendra du sens que l’on accorde au mot « progrès », et de l’orientation que prendra chacun en voulant aller vers ledit « progrès ». Est-ce le progrès que de passer au tout numérique ? Comment rester libre quand le numérique devient synonyme d’automatisation, traçage et surveillance ? Quel place pour l’humain ?

Le Verseau étant un signe de connaissance, le progrès pourrait aussi signifier une évolution de la conscience vers une meilleure connaissance de soi. Ce grand humaniste qu’est le Verseau s’intéresse aussi à la vie planétaire et l’environnement le questionne. Il a de grandes idées pour la planète et pour la collectivité. Ce passage de Pluton en Verseau serait l’occasion pour tous de reconsidérer notre rapport à notre environnement en privilégiant le partage et l’humain. Le côté ésotérique et alternatif du Verseau peut aussi faire éclore des vocations alternatives utilisant des techniques énergétiques pour soigner par exemple.

Il faut juste se rappeler que le symbole du Verseau représenté par deux ondes superposées correspond à la fois à des vibrations informatiques (ondes) ou quantiques (spirituelles). Doit-on voir dans ce symbole la possibilité de vivre ces deux dimensions paradoxales parallèlement ? Telle est la question et nous avons 20 ans pour y répondre 😉

Si tu veux en savoir plus sur ce que te réserve les astres, je démarre une formation en astrologie dès le 22 janvier. Je t’accompagne pour que les étoiles te guident au quotidien.

A la semaine prochaine,

Joëlle

Dire Merci à 2023 pour bien accueillir 2024

Dire Merci à 2023 pour bien accueillir 2024

Bonjour à toi,

En cette belle journée de Noël, je souhaite te parler de gratitude. Quel rapport avec l’abondance ?

Petit rappel : L’abondance, c’est recevoir quelque chose en quantité plus que nécessaire.

Il y a donc trois étapes pour y accéder :

  1. Connaître nos besoins et déterminer la limite du « nécessaire »
  2. Travailler ses croyances limitantes pour augmenter sa capacité à recevoir
  3. Remercier pour ce que l’on a.

Pourquoi exercer sa gratitude ?

Cette dernière étape peut semble superflue, elle est pourtant nécessaire.

Tu as du voir que je me répète régulièrement, mais je ne le dirai jamais assez : tu crées ta réalité.

  • Ton cerveau ne fait pas la différence entre l’imaginaire et le concret. Tu sécrètes les mêmes hormones que tu imagines un événement passé ou futur ou que tu le vives au présent.
  • Si tu plantes une idée dans ton cerveau, celui-ci l’utilise ensuite pour filtrer l’ensemble des informations à sa disposition et te prouve ainsi que tu as raison. « Les gens sont cons » et tu te retrouves avec une ribambelle d’exemples quotidiens pour te le rappeler chaque jour ; « les gens sont généreux » et tu te retrouves avec une ribambelle d’exemples quotidiens pour te le rappeler chaque jour.

Quel rapport avec la gratitude ?

Remercier pour ce que tu as, c’est obliger ton cerveau à regarder l’abondance qui est déjà dans ta vie. C’est montrer à ton cerveau ce qui est déjà là pour lancer une boucle positive. Sortir du cercle vicieux pour le lancer vers un cercle vertueux.

La gratitude, c’est démarrer ou renforcer la boucle de l’abondance.

Comment ressentir de la gratitude ?

Remercier est un acte ; la gratitude est un sentiment. On peut remercier quelqu’un sans éprouver de la gratitude ; on peut éprouver de la gratitude sans l’exprimer.

Pour accéder à l’abondance, il est important de ressentir la gratitude. Pas besoin de mots ou d’action en particulier. La gratitude doit venir du fond de toi. Pas de ta tête, mais de tes tripes.

Dépendant de ce que tu vis en ce moment, tu trouveras cet exercice plus ou moins difficile. C’est avant tout une question d’entraînement.

Pour commencer, ferme les yeux et pense à un moment doux de ta vie. Ce peut être un souvenir d’enfance ou un événement joyeux que tu as vécu récemment. Laisse-toi te remplir de la joie et de la saveur de ce moment, puis remercie intérieurement d’avoir vécu cet instant.

Tu devrais ressentir quelque chose physiquement dans ton corps. C’est ça la gratitude.

Pour ma part, je sens une chaleur qui m’envahit, notamment autour du cœur. Je ressens comme une expansion cotonneuse au niveau de la poitrine. C’est doux et joyeux.

Une fois que tu as expérimenté cette gratitude. Décide à la fin de la journée de trouver 3 choses, grandes ou petites, pour lesquelles tu souhaites exprimer de la gratitude.

Au début, ça peut être difficile. Surtout si tu es dans un période compliquée où le Ciel semble te tomber sur la tête. Cherche tout de même 3 choses. Si tu n’en trouves qu’une au départ, c’est déjà ça. En cherchant chaque jour, tu auras de plus en plus de facilité à le faire, car ton cerveau sera à l’affût d’un bon moment à noter à la fin de ta journée.

Une conversation avec un collègue, un appel d’un proche, le sourire d’un ou d’une inconnue dans la rue, réussir une tâche complexe, démarrer un projet qui nous tenait à cœur…

Ta journée ne va pas changer. Ou plutôt si ! Ce que tu ne remarquais pas (ou plus) dans ta journée et qui était positif va prendre de l’ampleur dans ta vie.

Est-ce que les emmerdes quotidiennes seront moindres ? Oui et non. Elles auront beau être là, leur poids sera différent : elles prendront moins de place puisqu’elles devront rivaliser chaque jour avec les bonheurs quotidiens. C’est aussi une manière de prendre de la distance avec elles pour mieux les appréhender et leur trouver une solution.

Maintenant, à toi de jouer !

  1. Identifie tes besoins actuels grâce à la liste des besoins.
  2. Scrute tes croyances limitantes qui pourraient t’empêcher d’accueillir pleinement les solutions qui viennent à toi.
  3. Prépare-toi à recevoir. Pratique la gratitude pour remercier pour ce que tu as déjà et entraîne ton cerveau à voir les opportunités futures.
  4. Laisse-toi surprendre par la Vie pour trouver des réponses à tes besoins.

On se retrouve en janvier pour parler Astrologie !

Joëlle

« L’argent ne fait pas le bonheur », vraiment ?

« L’argent ne fait pas le bonheur », vraiment ?

Bonjour,

Déjà 47 personnes inscrites à l’atelier en ligne du 11 janvier 🥰 Merci pour votre confiance ! J’ai vraiment hâte d’y être.

Cette semaine, on continue à parler argent. Est-ce que toi aussi tu as grandi avec la phrase « L’argent ne fait pas le bonheur » ? C’est une phrase qui me (pour)suit depuis le plus jeune âge.

En fait, je n’arrive pas à m’en détacher pour une raison très simple : je suis convaincue que l’argent ne fait pas le bonheur. Je pense sincèrement qu’on peut être heureux sans argent.

Alors pourquoi vouloir s’en défaire ? C’est vrai ça, c’est plutôt positif de penser qu’on peut être heureux sans argent, non ?

Le problème avec cet adage, c’est qu’il peut être traduit de deux manières. L’une est positive, l’autre négative. Et ton cerveau (et le mien) ne fait pas la différence…

« L’argent ne fait pas le bonheur » signifie :

  1. On peut être heureux sans argent (Super !)
  2. L’argent n’est pas un outil qui te permettre d’accéder au bonheur. En creux, si tu as de l’argent, tu ne peux pas être heureux. (Vachement moins bien).

En définitive, on te dit qu’on peut être heureux sans argent, et que c’est tant mieux parce qu’avec, tu n’arriveras pas à être vraiment heureux.

Mmmmh…

Mais au fait, pourquoi dit-on que l’argent ne fait pas le bonheur ? Pour être moins aigri d’être pauvre ? Pour accepter notre condition parce que le bonheur est ailleurs ? Quelle que soit la raison, je ne pense pas qu’elle soit utile. Diaboliser l’argent ne permettra certainement pas d’en avoir.

L’argent est (seulement) un moyen

L’argent n’est pas un fin en soi. Avoir de l’argent pour de l’argent n’a pas de sens. On souhaite en avoir pour réaliser un projet, acheter des objets, vivre des expériences.

Bref, l’argent répond à un besoin (même s’il n’en est pas un lui-même, si tu te rappelles mon mail de la semaine dernière). En ce sens, l’argent n’est ni bon, ni mauvais. C’est un moyen d’échange parmi d’autres.

On considère souvent dans notre système de pensée, que l’argent est « sale », qu’il « gangrène la société », que « si une chose est bonne, elle n’a pas de valeur ». Comment notre cerveau peut-il vouloir quelque chose qu’il considère comme mauvais ?

Les soignants, les enseignants, les chercheurs, les agriculteurs… les métiers dits essentiels sont pourtant souvent mal payés. De nombreux “métiers passions” ne permettent pas d’en vivre parce que « lorsqu’on aime, on ne compte pas ». Parce que les métiers utiles ne devraient pas être capitalistes.

Et si, par malheur, une personne gagne sa vie en faisant de «bonnes » choses, c’est alors suspect.

Nous avons tous des besoins. Pourquoi certains pourraient y répondre avec de l’argent et d’autres non ? Si seules les « mauvaises » personnes peuvent faire de l’argent, alors toi, qui te considères « bon », ne pourras être riche. Et donc tu auras raison puisque tu laisseras seulement les « mauvaises » personnes en gagner. C’est un cercle vicieux et sans fin.

Décoder ses préjugés pour changer son système de pensée

Notre cerveau est puissant. Il décrypte chaque jour des milliards d’informations. C’est souvent beaucoup trop pour lui : il doit donc faire des choix.

Pour l’aider à faire des choix, avoir un projet, une idée, un objectif peut aider. J’attends une berline rouge, je me rends compte qu’il y en a beaucoup en ville. Pourquoi ? Parce que je pose mon attention dessus. Il n’y en pourtant ni plus ni moins qu’hier.

Il en va de même pour nos préjugés. Ils nous aident à décoder le monde qui nous entoure. Ils nous donnent des clefs pour penser plus vite (mais pas forcément mieux). Et en passant ma réalité à ce filtre, je me confirme mes croyances à moi-même.

Si je suis persuadé que « les gens sont incivils », je ne remarquerai que les petits gestes du quotidien qui vont en ce sens : le papier jeté à terre, la fumée de clope qui s’en va dans le visage d’un non-fumeur, la porte qui se ferme sous mon nez, la personne qui coupe la file d’attente…

Je remarquerai moins cette personne qui m’a proposé un verre d’eau quand j’étais dans ladite file d’attente, ou celle qui m’a remercié et souri quand je lui ai rapporté son chapeau, ou ce maître qui a ramassé la crotte de son chien…

Alors Reader, quelles sont les affirmations sur l’argent qui t’empêchent de voir des opportunités ou de t’en créer ?

  • L’argent est rare (ou sa variante, l’argent ne pousse pas sur les arbres) : c’est un peu l’antithèse de l’abondance, je vois pas trop comment souhaiter l’abondance avec une telle croyance.
  • L’argent est mauvais : si une « bonne » personne ne peut donc pas en gagner, ça va être dur pour toi de gagner ta vie sauf à te croire « mauvais » à ton tour. Ou bien de prendre un boulot de misère pour recevoir un mal pour un mal 😥
  • L’argent n’est jamais gratuit : tu ne peux pas avoir de l’argent sans raison ou sans devoir quelque chose en retour. Toutes les opportunités de cadeaux de l’Univers te sont donc bannies.
  • L’argent est sale / L’argent corrompt : je ne peux pas gagner de l’argent en étant intègre, je ne peux pas être intègre et gagner de l’argent. C’est assez réducteur. Il faut donc être pauvre pour trouver grâce à tes yeux.
  • L’argent ne fait pas le bonheur : tu ne peux pas accéder au bonheur et à l’argent, il faut choisir. Et si on choisissait les deux ?
  • L’argent ruine tout / Les histoires d’argent tuent l’amitié : avoir de l’argent empêcherait d’avoir de vrais amis, des relations saines… Ce mythe de la grande solitude de l’argent. Sache que tu peux trouver des amis aussi riches que toi si tu le souhaites. Et pour les actuels, fais-leur lire ma newsletter pour qu’il te suive dans ton ascension 😆
  • L’argent rend fou : tu préfères garder ta santé mentale plutôt que d’avoir de l’argent. C’est noble. Je crois cependant que tu peux avoir les deux. Si, si, c’est vrai.
  • L’argent, c’est de la liberté monnayée : je ne serai plus libre en gagnant de l’argent. D’autres répondraient que l’argent te donne de la liberté. Je suppose que c’est une question de point de vue. Si l’argent n’est qu’un moyen, gagner de l’argent, c’est te donner les moyens pour parvenir à tes fins.
  • Plaie d’argent n’est pas mortelle : certes. Ce n’est pas un sort enviable pour autant. Il y a bien peu de choses mortelles en ce bas monde, et il n’y a que pour l’argent qu’on n’aurait pas de sentiments négatifs face à la situation ?
  • On n’a rien sans rien : il faut travailler très dur pour gagner beaucoup d’argent (ou pas). Travailler plus pour gagner plus n’est pas une réalité concrète pour beaucoup de personnes. Accepte de recevoir de l’argent sans avoir contribué activement pour l’obtenir. Accepte de travailler moins en gagnant autant… voire plus !
  • Quand on aime, on ne compte pas : euh… si si en fait. Tu peux aimer ton boulot mais si tu ne comptes pas les heures, c’est burn-out assuré. Aimer, ce n’est certainement pas s’oublier. Alors oui, on compte ses efforts parce qu’aimer c’est un équilibre. Donc aime ce que tu fais, mais compte bien tes heures et combien ça te rapporte.
  • On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre : c’est bien dommage pour toi, parce que c’est quand même bien plus sympa d’avoir les deux.

Ce ne sont que quelques exemples ! A toi de dénicher où se cachent tes croyances pour mieux les dépasser.

Semaine prochaine, je te partage la dernière étape du cycle de l’abondance : la gratitude.

D’ici là, porte-toi bien !

Joëlle

Envie d’aller plus loin ?

Le Feng Shui pour chasser ses croyances limitantes

Faire du Feng Shui, c’est aussi changer son état d’esprit. Je te partage le cas de Mme Malchance et de son secteur Nord-Ouest.

Comment attirer l’argent et l’abondance financière ?

En Feng Shui, deux secteurs représentent notre rapport à l’argent et à l’abondance. Je t’explique.

L’argent n’est pas un besoin…

L’argent n’est pas un besoin…

Bonjour,

Une newsletter un peu en décalé aujourd’hui car je suis en pleine préparation de mon atelier en ligne ! 💪🏽 Je t’en dis plus jeudi avec une invitation en bonne et due forme 😉

La semaine dernière, je te demandais de réfléchir à tes besoins, ce qui manque dans ta vie et où tu souhaites recevoir de l’abondance.

Cette question est primordiale : comment trouver une solution quand tu ne connais pas le problème ? Malheureusement, on confond souvent problème et solution. Oui oui, tu as bien lu. Je m’explique.

Identifier ses besoins… avant de trouver une solution !

Des problèmes, j’en entends régulièrement : « J’ai besoin de changer de boulot », « J’en peux plus de cette ville, faut qu’on déménage », « J’aimerais que mes enfants soient plus présents », « J’ai besoin d’argent »…

Tu te reconnais peut-être dans l’une ou l’autre de ces situations. Elles sont d’ailleurs plutôt communes. Malheureusement, aucune ne parle de besoin véritable. Toutes se focalisent sur une solution, sans mentionner le besoin réel qui se cache derrière.

Un besoin est universel, et en lien avec soi-même. Ce n’est pas quelque chose qu’on peut faire, ni prendre ou toucher (sinon, ce n’est plus universel). Ce n’est ni un lieu, ni une personne. Pour t’aider, voici la liste des besoins selon la CNV (Communication NonViolente).

Prenons l’exemple de « J’ai besoin de changer de boulot ». Changer de boulot est déjà l’expression d’une solution. Le besoin qui le motive peut être multiple : besoin de sens (je ne sais plus ce que j’y fais), besoin d’autonomie (j’en ai marre de faire des tâches répétitives ou d’avoir toujours mon chef sur le dos), besoin d’apprentissage ou de croissance (j’ai fait le tour de ce poste ou de cette entreprise), besoin de joie ou de paix (l’ambiance au boulot est pesante, les collègues sont médisants).

Ou peut-être est-ce tout cela à la fois.

Bien sûr, quel que soit le besoin qui la porte, l’idée de changer de boulot est bonne. Mais ce n’est qu’une des différentes solutions possibles.

On peut agir sur tous nos besoins, mais pas sur toutes les solutions

S’enfermer dans une solution unique a deux écueils :

  • Que se passe-t-il si la solution attendue ne se réalise pas ?
  • Comment voir d’autres solutions si je n’ai pas l’esprit ouvert à d’autres possibles ?

Le 1er cas est source de frustration et d’incompréhension.

Si je fais peser sur les épaules de mes enfants ma solitude, nos relations risquent de se dégrader. Si je me rends compte que j’ai besoin de partage, de soutien, de présence, je peux trouver des ressources ailleurs qu’auprès de mes enfants. C’est ma solution préférée mais ce n’est pas la seule et unique.

Si je ne peux pas changer de boulot, je peux trouver du sens ailleurs. Je ne suis pas seulement un employé, je suis aussi un citoyen et je peux m’engager ailleurs que dans mon entreprise.

Si j’ai besoin de joie et de paix, comment modifier l’ambiance au boulot ? Ou plutôt quelles actions puis-je mettre en place pour alléger les effets de cette ambiance dans mon quotidien ?

On en revient à la question de notre capacité d’action.

L’abondance comme état d’esprit.

Une fois que tu as bien identifié tes besoins, viens le temps de trouver une solution. Et pour activer l’abondance, il faut être capable d’accueillir toutes les solutions. Et donc in fine d’être capable de recevoir.

Si l’on revient à notre définition, l’abondance, c’est recevoir. Ce n’est pas devoir trimer corps et âme pour obtenir. La nuance est de taille.

Si j’ai besoin d’un logement, suis-je capable de recevoir l’aide d’un ami qui me propose de me prêter sa villégiature ? Suis-je capable d’accepter le don d’argent de mes proches qui se sont cotisés pour m’accompagner pendant cette période difficile ?

L’abondance peut arriver sous bien des formes : l’Univers a plus d’imagination que toi. Sans capacité à recevoir, l’abondance ne peut circuler librement.

Débloque des solutions en identifiant les besoins réels que tu souhaites nourrir.

Il est nécessaire de garder l’esprit ouvert pour reconnaître lorsqu’une solution s’offre à nous… et l’accueillir !

La semaine prochaine, je visite avec toi les différentes croyances que nous avons sur l’argent. L’argent n’est pas un besoin mais une des nombreuses solutions possibles. Si tes croyances limitent ta capacité à imaginer l’argent comme une solution, alors l’accès à l’abondance peut être bloqué.

A lundi !

Joëlle

Activons l’abondance en cette fin d’année !

Activons l’abondance en cette fin d’année !

Bonjour,

Nous voilà déjà en décembre avec, à l’arrivée, les fêtes de fin d’année et de nouveaux projets en janvier !

Aujourd’hui, j’ai envie de te parler de Noël. Je fête Noël depuis ma plus tendre enfance et j’avoue que c’est une période que j’aime particulièrement. J’ai toujours la même impatience d’ouvrir mes cadeaux et, surtout, de les offrir ! Je suis de celles qui aiment la profusion de petits paquets sous le sapin pour faire durer le plaisir toute la soirée.

Pour d’autres, la fin d’année est synonyme de dépenses ou de solitude. Je souhaite donc aborder avec toi la notion d’abondance : qu’est-ce que c’est et comment y accéder.

Pour cette 1re édition du mois, j’aimerais qu’on s’arrête tout d’abord sur sa définition. Ce qu’est l’abondance et surtout, ce que ce n’est pas.

C’est parti !

Abondance n’est pas opulence

L’abondance, c’est recevoir quelque chose en quantité « plus que nécessaire ». C’est-à-dire qu’il n’y a pas besoin de recevoir beaucoup, il suffit que ce quelque chose soit encore accessible, même lorsque nos besoins sont satisfaits.

Lorsqu’on pense à l’abondance, on pense souvent à l’abondance financière. Mais avoir beaucoup d’argent ne signifie pas vivre dans l’abondance. Si j’en veux toujours plus alors que j’ai déjà une rémunération plus importante que la moyenne, et que je dois donc toujours travailler plus dur et plus fort pour gagner ma vie, alors je peux vivre dans l’opulence sans être dans l’abondance.

A l’inverse, une personne qui a peu de besoins vivra chichement. Mais si tous ses besoins personnels sont satisfaits facilement et continuellement, alors cette personne vit dans l’abondance.

De quoi as-tu besoin ?

Donc pour parler d’abondance, il faut tout d’abord parler de besoins. De quoi as-tu besoin ? Ou plutôt de quoi manques-tu ?

Car si tu cherches aujourd’hui l’abondance dans ta vie, c’est que tu penses manquer de quelque chose. Quel est-il ? Ce « quelque chose » peut prendre de nombreuses formes : argent, amis, tendresse, nourriture, temps…

Si j’apprécie tant les fêtes, c’est parce que cette période est synonyme d’abondance pour moi sous bien des aspects : abondance d’amour, de partage et de rires avec mes filles qui viennent me voir pour l’occasion, abondance de nourriture avec des repas riches en saveurs, abondance de cadeaux, abondance d’échanges avec mes proches pour échanger des vœux…

C’est une période où je suis nourrie de ce qui importe le plus pour moi. L’erreur est de croire que je dois attendre Noël pour recevoir toute cette abondance 😆

Et toi, de quoi manques-tu ? Où souhaites-tu recevoir de l’abondance dans ta vie ?

Comment accéder à l’abondance ?

Revenons à sa définition. L’abondance, c’est recevoir quelque chose en quantité « plus que nécessaire ».

  1. Connaître ses besoins et définir ce qui est nécessaire pour toi.
  2. Être capable de recevoir.
  3. Eprouver de la gratitude pour ce que l’on a déjà.

Dans les semaines à venir, je détaille chacune de ces étapes. A toi de voir si tu souhaites jouer le jeu avec moi et mettre directement en pratique les exercices dans ta vie. Tu as tout à y gagner : à quoi bon avoir un mode d’emploi si on ne le suit pas 😉

Rendez-vous lundi prochain pour parler des besoins. Comment les définir pour mieux les nourrir. Et, grande nouvelle, l’argent n’est pas un besoin 😮

A tout vite !

Joëlle